Marie Tromel
À dix-huit ans, en 1735, elle était une belle fille, ayant les cheveux roux, abondants et soyeux, la taille haute, la démarche souple ; coquette aussi, vaniteuse, intelligente, audacieuse. En compagnie d’un grand gars, qu’on appelait Hanvigen et qui n’avait pas bonne réputation, elle courait le pays de Cornouailles et de la Montagne-Noire, de Quimper à … Lire la suite